Emmanuel, à Yaoundé – Cameroun

  • La sécurité des enfants ;
  • La nomination au poste de S.G ;
  • Le voyage au Ghana ;
  • Le mariage à la Cathédrale ;
  • La santé des enfants ;
  • La paix d’esprit ;
  • La stabilité financière.

Je suis Emmanuel, Surveillant Général au lycée de bilingue de Mbalngong. J’ai 35 ans et je vis à Yaoundé avec ma petite famille.

J’ai fait la rencontre de maman Josépha d’une manière miraculeuse. Mais avant d’arriver à cette sublime rencontre, faisons un flash-back sur les évènements qui ont secoué ma vie d’antan.

En 2017, exactement le 17 octobre, mon épouse, la nommée Jeanne, rend l’âme à l’hôpital central de Yaoundé des suites d’une courte maladie. 6 mois de maladie auront suffi pour que la leucémie la terrasse et ait raison d’elle. Au moment où la mort vient l’arracher brutalement à la vie, elle a un bébé de 6 mois en main. Notre première fille n’avait pas encore 4 ans et nos jumeaux avaient à peine 2 ans. Je suis donc resté veuf avec 4 enfants à ma charge et une pléthore de dette. Ma vie était un exemple vivant de douleur et de peine. Vint enfin ce fameux jour où je fis la rencontre de la Servante de la Sainte Vierge.

Une amie et collègue dont je préfère taire le nom, m’appelle au téléphone et me demande de la retrouver à Mvan. J’hésite, je doute, je trouve des raisons pour ne pas y aller; mais elle insiste et finit par me convaincre. On se prend à Mvan et on file vers une direction inconnue. En cours de route, j’apprends de sa bouche qu’elle me conduit chez une certaine Maman Josépha parce que ma défunte épouse lui a dit en rêve de m’y emmener. On arrive enfin au portail. Elle sonne, on ouvre et nous entrons.

C’était un jour de prière. Il y avait du monde. Nous avons pris part à la prière. Après la prière, Maman Josépha me reçoit au Sanctuaire marial. Après consultation, elle me recommande d’inscrire des neuvaines de messe et prendre 3 quarantaines. Ce que j’ai ressenti ce jour est Indescriptible. La maison de Maman Josépha est un lieu saint qui distille la quiétude, la paix intérieur et l’harmonie.

J’entame mes quarantaines. Tout va bien au début. Mais plus j’avance, plus les persécutions se multiplient. Les difficultés financières font surface et j’ai de moins la possibilité de régler mes dettes et de payer mon loyer. Mes 4 enfants qui étaient chez mon père à Foumbot après le décès de leur mère sont renvoyés chez moi. Je suis donc obligé de faire venir deux nièces pour m’aider à la maison. La faim commence à faire son nid. Après un malheureux incident, mon neveu qui était venu s’installer chez moi s’en va et m’accuse auprès de la famille de l’avoir traité de meurtrier. Ce qui crée des tensions et des frustrations. Malgré cela, j’ai persisté et bouclé mes quarantaines. Mes quarantaines achevées donc, je ne sais combien de mois, je reçois un message du Christ qui me promet une élévation et des grâces exceptionnelles. Entre temps, je continue à assister aux prières et aux veillées de la traversée. Chaque rencontre avec la Servante de la Vierge est un moment de bonheur immense. Car en plus de la bonne humeur qu’elle diffuse, elle a toujours quelque chose à offrir: argent, sacs de riz, régimes de plantain, fruits, tissus pagne, sacs à main, banquets…

En août 2021, une amie très proche me transfère un lien pour souscrire à un appel d’offre de l’Organisation Internationale de la Francophonie pour aller au Ghana ou au Rwanda. Je commence l’inscription. À la première difficulté, j’arrête tout. Mon amie appelle et insiste. Je recommence et fais face à une nouvelle difficulté : absence de passeport et de CNI. Je me décourage et j’abandonne. Cette fois, c’est l’OIF qui me relance à plusieurs reprises pour que j’achève ma souscription. Je l’achève finalement malgré moi sans conviction puisque même la lettre de motivation c’est mon amie qui me l’avait envoyée.

Tout compte fait, je suis retenu pour aller au Ghana en janvier 2022. Gloire à Dieu, j’ai pris l’avion et j’ai dormi dans des hôtels 5 étoiles, rencontré des collègues de différentes nationalités: française, serbe, moldave, togolaise, burundaise, tchadienne; j’ai touché les euros et j’ai dîné avec des hautes personnalités: le PR du Ghana, l’Ambassadrice de France au Ghana… Après un an de contrat, je repars pour une nouvelle année pleine de rebondissements.

Au moment où je fais ce témoignage, mes enfants sont en parfaite santé. J’ai pu payer leur scolarité en une tranche ce qui n’était plus arrivé depuis des années. Pour parachever mon bonheur, l’Éternel des armées m’a béni en me donnant les moyens de sceller mon amour avec la femme qui m’a accompagné durant ces moments affreux Vanessa à la Cathédrale Notre-Dame-Des-Victoires de Yaoundé. Aux dires des invités, c’était un mariage sublime.

À présence, je parle de la Servante de la Vierge Marie à qui veut l’entendre. D’ailleurs après sa prière magistrale à mon mariage, c’est tout le monde qui voudrait la rencontrer.

Dieu bénisse Maman Josépha !!!

Tout ce qu’elle vous dira, faites-le !!!

Le 15 Janvier 2023

Laisser un commentaire

Your email address will not be published. Required fields are marked (required)