Marisa, à Yaoundé – Cameroun

• Mon enfantement,
• Mon admission au concours d’entrée dans une grande école.

Je m’appelle Marisa, j’ai 25 ans et ceci est le témoignage des biens fait de maman Marie par le canal de sa servante maman Josépha.

Je me suis mariée en 2017 à l’âge de 22 ans, mon époux et moi avions tout de suite ressenti l’envie de fonder notre famille tout en nous disant qu’on ne se mettra pas de pression. Seulement quelques semaines après le mariage, je fis une fausse couche à un mois de grossesse. Après cette fausse couche je fis une série d’examens à l’issu desquels on m’a diagnostiqué  le syndrome des ovaires polykystiques, une maladie qui réduit la fertilité. En plus de ce syndrome, j’avais un taux de prolactine élevé. Après quelques mois de repos, j’ai été mise sous stimulation ovarienne car d’après les médecins, ce n’était que de cette façon que je pouvais concevoir. J’ai également suivi un traitement pour faire baisser mon taux de prolactine sans succès. En mai 2018, j’ai à nouveau conçu après une nième stimulation. Mais tout ne s’est pas passé comme prévu, malgré tous les contrôles que je faisais à l’hôpital, j’avais constamment des saignements et les médecins n’arrivaient pas à expliquer l’origine de ces saignements. En plus j’étais tellement attaquée pendant cette deuxième grossesse. Une nuit lorsque j’étais déjà à 5 mois et demi de grossesse je fis un rêve dans lequel un homme m’enlevait mon bébé du ventre, quelques jours plus tard je faisais une autre fausse couche. Après la seconde fausse couche, j’étais persécuté toutes les nuits par des gens qui me poursuivaient dans les rêves, par des couches de nuits, et des repas en songe au point où j’avais peur de m’endormir. Pas une seule nuit ne passait sans que je ne subisse une attaque et chaque fois que j’avais un petit retard, je faisais une couche de nuit et le matin mes menstrues étaient là. Tout ce que j’entreprenais échouait, j’ai fait une dépression et je n’avais plus envie de rien faire. J’étais devenu l’ombre de moi-même.

C’est durant cette période difficile qu’un jour en parcourant mon fil d’actualité Facebook, je suis tombé sur la page Le Miracle de Dieu. Je me suis mise à lire les différents témoignages et je me suis sentie interpellée. C’est ainsi que j’ai laissé un message sur le Messenger de la page et quelque temps après j’ai reçu une réponse qui me demandait de venir rencontrer maman Josépha le mardi qui suivait à 8h. Comme convenu, mardi à 8h j’étais chez maman. À la vue de maman, je me suis senti apaisée, elle avait des mots réconfortants et m’a demandé de considérer que tous mes soucis avaient été résolus car maman Marie n’échoue jamais. Elle m’a prescrit des prières que je devais faire et m’a demandé de revenir dans l’après-midi pour la prière. Lors de la prière maman m’a fait venir vers elle, elle était presque en transe. Elle toucha mon ventre et me dit qu’il y’a un monstre dans mon ventre qui tuait tous les enfants que je concevais. Elle a fait partir cette créature et m’a assuré que le prochain enfant que je concevrai restera. J’étais tellement ému que je ne pouvais m’empêcher de pleurer. Une semaine après j’ai commencé mes quarantaines. À peine j’avais commencé mes quarantaines que je recevais les appels venant de mes proches et tous disaient avoir rêvé que j’ai accouché. Je me disais que c’était sûrement un signe du Seigneur. Un jour pendant que je faisais ma quarantaine, je fis un songe où j’étais dans la maison familiale à la véranda avec ma maman quand tout à coup l’image de la Miséricorde Divine apparue sur le plafond, les rayons de cette image nous transperçaient ma maman et moi et nous nous sommes agenouillées en remerciant le Seigneur pour la délivrance qu’il nous accordait. Seulement, je n’ai pas suivi le programme comme il fallait mais maman Marie dans sa miséricorde m’a obtenu la grâce de concevoir à nouveau. Cette troisième grossesse était différente des autres car malgré le fait que j’étais toujours persécutée, j’avais une voix au fond de moi qui me disait tout est accompli. Un matin de Juin 2020 alors que j’étais à 2 mois de grossesse je ressenti une douleur atroce au bas ventre, j’appelai maman Josépha en larme et lui expliqua la situation, elle se mit aussitôt en prière et me demanda de venir la voir au plus vite. Le lendemain je me rendis chez maman, une fois chez elle, nous avons prié et elle m’a demandé de recommencer mes quarantaines, chose que j’ai faite jusqu’à la fermeture des portes en fin août 2020. Ma grossesse fut une grossesse compliquée mais maman me demandait de demeurer en prière et de ne pas avoir peur. On était constamment en contact et elle prenait de mes nouvelles tout le temps. Grâce à Dieu j’ai accouché le 18 décembre du petit Elie. Je remercie la très sainte Vierge car depuis que je suis accrochée à elle, je ne cesse de voir ses miracles dans ma vie. Je l’appelle et elle répond. Mes nuits sont désormais paisibles et j’ai réussi au concours d’entrée dans une grande école. Je remercie également maman Josépha pour son amour, son accompagnement, et les moments de convivialité partagés chez elle, tata Éva (comme je l’appelle) pour sa disponibilité. Que maman Marie nous garde tous sous son virginal manteau.