Virginie, 49 ans à Yaoundé – Cameroun

  • Déblocage total de tous les aspects de ma vie,
  • Signature de mes dossiers : reclassement, avancements et effets financier,
  • Le retour de mon fils aîné.
  • La paix intérieure
  • Restauration de ma vie amoureuse.

Bonsoir / bonjour à ceux qui liront et que la paix du Seigneur soit avec vous.

Je suis Virginie 49 ans. Je réside à Yaoundé au Cameroun. D’aussi loin que je me souvienne, je n’ai jamais été heureuse. Depuis mon enfance, jusqu’à ma rencontre avec Maman Josépha, ma vie n’a été qu’une suite de difficultés, un fleuve de larmes et de tristesse.  Je dirai d’abord que je suis née d’une famille très mauvaise.

Tout ce que les autres obtenaient facilement, moi je devais bosser dix fois plus pour l’obtenir et encore sans résultat. Pourtant je ne suis ni paresseuse, ni bête. J’ai vu des portes se fermer devant moi de manière inexplicable. Le mot malchance est le seul dont on m’accablait autour de moi face à ce chapelet d’échecs. Les gens (hommes comme femmes) avec qui je m’entendaient finissaient toujours par se détourner de moi et me détester sans aucune explication. Ce qui fait que je n’ai vraiment pas d’amis et je devais faire des efforts pour. Dans ma famille, l’enfant bosseuse et studieuse que j’étais à l’école n’a jamais vu un sourire d’encouragement de son papa après de bons résultats scolaires (j’étais toujours parmi les meilleurs). Et c’est comme cela que mon petit cœur a commencé à connaître l’amertume, et ma vie entière, j’avais cette boule de tristesse qui m’empêchait de profiter de la vie … Dans ma jeunesse, je n’ai pas connu l’amour, le vrai. Les hommes que je rencontrais étaient tous fous de moi au début et puis tout aussi soudainement, ils me laissaient tomber et s’éloignaient de moi comme d’un œuf pourri. Aucun de mes efforts n’y changeait rien. Je suis allée chez les marabouts, lassée de voir ma vie ainsi misérable. Et un jour une dame centrafricaine musulmane dont on disait qu’elle était puissante me dit « Aucun marabouts, je dis aucun ne pourra te délivrer parce que la chose qui est en toi est tellement puissante qu’elle vient menacer tous ceux qui osent te délivrer ». C’était en 2004.

J’ai connu tellement de déceptions amoureuses que j’ai fini par me résigner à l’idée que je finirai ma vie seule. Le plus bizarre est que ces hommes des années après revenaient me demander pardon parce que chacun était conscient de m’avoir humiliée au plus haut niveau. Je me suis donc par la force des choses retrouvée mère célibataire de trois ans enfants.

Sur le plan professionnel, je n’avais pas eu la carrière que je voulais mais je remerciais le ciel de n’avoir pas faim, rien n’était facile pour moi. Le pire commence pour moi en 2016 lorsque des enfants viennent m’appeler de l’Eglise en me disant que ma fille est tombée devant le prêtre. En arrivant sur les lieux, je trouve ma petite fille qui n’a jamais parlé correctement la langue de mon village en train de convulser et se tordre et un membre très proche de ma famille parlait en elle en dialecte. Le prêtre avec sa croix lui imposait de se présenter et sortir de cet enfant. Seule une mère peut comprendre ce que j’ai ressenti à ce moment. Cet esprit qui s’était présenté comme ce membre proche m’implorait de dire au prêtre de le laisser tranquille. Il me suppliait de le laisser terminer son travail et le prêtre lui ayant imposé de partir, il se décida enfin de s’en aller mais en me promettant que je connaitrai bientôt ce qui s’appelle souffrance. Je m’en vais, mais je ne serai pas bien loin. L’enfant se calma enfin. Nous continuons dans les prières …  J’ai fini par oublier cet épisode jusqu’à ce que par une succession d’événements incroyables j’ai tout perdu : ma maison, un camion benne de dix roues et je me suis retrouvée endettée au point où ma vie était un enfer. C’était une situation où plus je faisais des efforts, plus je m’embourbais, exactement comme un insecte qui se débat dans une toile d’araignée. Je n’arrivais plus à me nourrir, à me loger, presque réduite à la mendicité alors que je travaillais. Rien de tout ce que j’entreprends ne réussissait, rien.
Je me suis retrouvée seule, sans personne autour de moi, j’avais souvent des palpitations. Les personnes que j’avais toujours eu chez moi ce sont toutes éloignées. J’avais peur de mourir toute seule une nuit. Mon téléphone ne sonnait plus. Je n’étais plus rien, je n’étais plus personne … J’ai connu le rejet et la solitude.

Une nuit, je me suis réveillée après un songe. Une personne (une femme) couverte d’un pagne venait me réveiller et se moquait de moi. Ce rêve était devenu très fréquent. Elle s’en allait avec un ricanement horrible « Tu vas souffrir… » Je me suis réveillée en pleurant « Seigneur, de qu’elle souffrance encore ? Je n’ai plus rien, je vis dans le mépris de tous ceux qui me connaissent même de mes propres enfants, Seigneur si tu le veux prends ma vie, je n’en peux plus. » Et je décidai cette nuit de ne même plus prier. J’étais fatiguée …

Maman Josépha.

Un mardi du mois de Mai 2019 vers midi. Je feuilletais les pages de Facebook (ma seule compagnie et distraction d’alors) lorsque je tombe sur cette page « Le miracle de Dieu ». Purement par curiosité je clique et je tombe sur le témoignage de Horty (Hortense), une jeune dame qui a eu sa grossesse par un miracle. Il y’a comme un déclic d’espoir dans ma tête. C’était comme une petite lumière dans ma nuit noire. Alors, toute fébrile, je compose le numéro et Eva me prend. Je lui dis je voudrais rencontrer Maman Josépha. Elle me dit de venir, la prière est en cours. Quand on entre chez Maman Josépha, on se sent comme un enfant sur les cuisses de sa maman… Seuls ceux qui y sont allés peuvent me comprendre.
Quand je suis entrée au sanctuaire devant le Christ et sa mère. J’ai explosé en sanglots, toutes les larmes de mon corps y sont restées. Elle a m’a bercée comme un enfant. Le Seigneur ce jour en réponse à mon fleuve de larmes m’a répondu par la parabole du pauvre qui demande des chaussures à Jésus et Jésus lui présente un homme qui lui n’a même pas de pieds « se contenter du peu qu’on a … chercher d’abord le royaume et le reste vous sera donné ensuite …

Ma situation financière était tellement catastrophique que j’ai eu du mal à faire lire mes messes mais j’y tenais et je l’ai fait. J’avais juste entamé ma première quarantaine lorsque j’ai bénéficié comme tous les présents à cette séance de prière de la grâce de la Vierge Marie et je suis entrée dans les mille mercis. Et de là, le Ciel s’est ouvert sur ma tête …

Grâce déjà obtenues

La Vierge a emmené à moi un homme merveilleux, bon et croyant. Souvent j’ai peur de me réveiller et me rendre compte que ce n’était qu’un rêve. Je peux fouler les endroits dans ce monde que je ne pouvais regarder qu’à la télévision … Aller dans des pays que je n’imaginais même pas découvrir, même dans mes fantasmes les plus fous … Je vis dans le bonheur et sur ce plan, le meilleur arrive.

Mon fils aîné, que son père avait dressé contre moi depuis son enfance. Qui depuis des années ne m’adressait la parole que pour m’agresser verbalement, est arrivé un matin chez moi et s’est mis à genoux pour me demander pardon.

En Septembre 2019, j’ai relancé mes dossiers. Mon dossier de reclassement bloqué depuis 2012, j’ai personnellement et facilement rencontré le MINFOPRA en personne. Mon arrêté a été signé en Novembre, mes avancements et je ne savais même pas. En Mars 2020 après qu’il a été possible de sortir j’ai déposé mes dossiers d’avancement et j’attends les effets financiers dans tout ceci. J’ai vu la main de Maman Marie. Je n’ai pas payé ce que j’ai obtenu.

Le Lundi 05 Juillet 2020, je suis sortie pour faire un petit tour et me détendre les jambes. Revenue vers 15 heures en croisant les jambes sur mon fauteuil, je sens comme une grosse épine qui me transperce la peau à la cheville. Je me courbe et observe bien, je suis surprise de voir un bout noir sortir … Depuis mes treize ans, j’ai une petite boule sous la cheville. Elle était si disgracieuse et assez douloureuse alors je suis allée à l’hôpital. On a incisé, il est juste sorti un peu d’eau. On m’a dit que cela allait se résorber mais elle a cheminée avec moi toute ma vie. Je priais toujours pour que ce qui est à cet endroit finisse un jour par sortir. Et c’est donc de cette petite boule de 2 cm de long sur 1cm de large que sortait par le bout du haut cette chose. Je l’ai tirée. C’était noir plat triangulaire avec les 3 côtés très pointus et les côtés tranchants, plus d’un centimètre de long. Je n’ai pas brisé cette espèce de puce ou je ne sais quoi extrêmement solide. Après avoir appelé Maman Josépha, je l’ai brûlée.

Je remercie d’abord la petite Eva. C’est par sa gentillesse au téléphone que tout a commencé pour moi.

Je bénis Maman Josépha pour sa vie de prière, son grand cœur de mère.

Je remercie la Vierge Marie. Soleil de nos vies, elle qui a mené pour moi les plus grands combats et intercédé auprès de son fils.

Je loue le Seigneur Jésus Christ. Qu’il soit glorifié à la droite de son Père Céleste. Lui qui a m’a maintenue en vie dans ce grand chemin de croix, afin que je sois un témoignage vivant de suprématie sur le Malin.

Laisser un commentaire

Your email address will not be published. Required fields are marked (required)